Aujourd'hui plusieurs milliers de personnes travaillent encore dans les quelques cinq cent mines qui transpercent le Cerro Rico, la montagne rouge qui domine la ville. Organisés en coopératives, les mineurs y extraient principalement de l'étain, du zinc et des résidus d'argent. Ils sont confrontés tous les jours à des conditions de travail d'une rare dureté, à la proximité constante de produits nocifs, et à l'absence de normes de sécurités.
Cette série de photographies a été réalisée à la lampe frontale dans les mines Negra, Robertito Compotosi, Candelaria et San Miguel à Potosi.